Vous envisagez de divorcer ? Attention, mieux vaut éviter de commettre des erreurs qui pourraient vous être reprochées.
Continuer la lecture de « Les 5 pièges à éviter si vous envisagez de divorcer »
Divorce amiable dès 360 € TTC
Démarrez votre procédure de divorce dès aujourd'hui
Vous envisagez de divorcer ? Attention, mieux vaut éviter de commettre des erreurs qui pourraient vous être reprochées.
Continuer la lecture de « Les 5 pièges à éviter si vous envisagez de divorcer »
En cas de divorce amiable, une question revient constamment : qui conserve le domicile conjugal ? La réponse à cette question varie suivant que le logement familial est la propriété du couple, d’un seul des conjoints ou pris en location. Un autre point important : le couple a-t-il des enfants ? Nous faisons le point sur cet enjeu pratique et juridique.
Continuer la lecture de « Divorce amiable : qui conserve le domicile conjugal ? »
Lorsque vous vous mariez, l’un des époux choisit délibérément de prendre celui de l’autre. Dans la plupart des cas, l’épouse prend le nom de son mari. L’inverse est cependant possible même si cela reste rare : l’époux peut choisir de changer de nom et prendre celui de son épouse.
Continuer la lecture de « Le changement de nom après le divorce »
L’une des principales demandes formulées par les époux ayant pris la décision de divorcer est liée au coût de leur divorce.
En effet, divorcer n’est pas « gratuit », car cette procédure requiert obligatoirement l’intervention de plusieurs professionnels du droit, qu’il s’agisse d’un divorce amiable ou devant le Juge et en premier lieu, l’intervention d’un Avocat par époux.
Continuer la lecture de « Divorcer à l’amiable, et « Pas cher ! » »
Dans un divorce par consentement mutuel, les époux peuvent en raison de la disparité de revenus entre eux décider qu’une prestation compensatoire sera versée par l’époux le mieux loti financièrement pour permettre à l’autre époux d’affronter en toute sérénité les conséquences financières du divorce. L’article 270 du Code civil prévoit qu’une prestation compensatoire peut être versée si la rupture du mariage crée dans les conditions de vie respectives des ex-époux une disparité.
Continuer la lecture de « L’héritage dans le calcul de la prestation compensatoire des époux »
Dans beaucoup de situations, les enjeux du divorce sont modérés et les époux ont d’ores et déjà arrêté les modalités de leur séparation en amont.
Lorsque les époux ont été correctement informés des conséquences du divorce et souhaitent pour des raisons variées que la procédure soit rapide (remariage/besoin de changer de vie/acquisition immobilière en vue,… etc), cela est en effet possible.
Continuer la lecture de « Divorcer à l’amiable rapidement : les six clefs »
Quel que soit la procédure de divorce et a fortiori dans le cadre d’un divorce amiable, des droits de partage sont susceptibles de s’appliquer sur les biens mobiliers et immobiliers des époux, en particulier s’ils sont mariés sous le régime de la communauté légale.
Continuer la lecture de « Droits de partage et divorce amiable »
L’objet de la prestation compensatoire est de compenser, autant qu’il est possible, la disparité que la rupture du mariage crée dans les conditions de vie respectives des époux – article 270 du Code civil.
Selon une étude statistiques récentes réalisées par infostat Justice n°77, une prestation compensatoire est allouée dans 12% des divorces.
Continuer la lecture de « Comment calculer la prestation compensatoire ? »
Dès son dépôt au rang des minutes de l’étude notariale désignée, la convention de divorce a la même valeur qu’un jugement.
Les époux peuvent donc solliciter l’exécution forcée de la convention dès lors que celle-ci a été déposée au rang des minutes du notaire.
Dès son dépôt, la convention de divorce a des effets identiques à ceux d’un jugement de divorce.
Le Règlement Bruxelles II bis a été réformé, ce qui a entrainé l’adoption du Règlement (UE) n°2019/1111 du 25 juin 2019 relatif à la compétence, la reconnaissance et l’exécution des décisions en matière matrimoniale et en matière de responsabilité parentale, ainsi qu’à l’enlèvement international d’enfants.
Ce nouveau règlement entre en vigueur le 1er août 2022 au sein des États membres de l’Union européenne.
Les deux principales nouveautés de ce texte très important en matière de divorce par consentement mutuel sont les suivantes :
L’article 65 du Règlement (UE) n°2019/1111 du 25 juin 2019 dispose que :
“Les actes authentiques et les accords relatifs à la séparation de corps et au divorce qui ont un effet juridique contraignant dans l’État membre d’origine sont reconnus dans les autres États membres sans qu’il soit nécessaire de recourir à aucune procédure”.
Le divorce par consentement mutuel sans juge en droit français sera obligatoirement reconnu au sein des états membres de l’Union européenne. Aucun de ces états membres ne peut invoquer leur ordre public international pour faire échec à une telle reconnaissance en se fondant sur le déjudiciarisé du divorce.
Les époux d’un état membre souhaitant divorcer ne peuvent choisir librement la France pour divorcer et faire reconnaitre au sein de leur pays de résidence le divorce ainsi prononcé. La CJUE a déjà jugé qu’il n’est pas possible d’insérer dans la convention de divorce une convention sur le choix de la loi applicable au divorce, en application de l’article 5 du règlement Rome III, pour désigner la loi française. La reconnaissance ne pourra s’appliquer aux divorces par consentement mutuel en France que si les juridictions françaises étaient compétentes au regard du règlement (CJUE 20 décembre 2017).
À cet effet, selon l’article 309 du Code civil dispose : « Le divorce et la séparation de corps sont régis par la loi française :
– lorsque l’un et l’autre époux sont de nationalité française ;
– lorsque les époux ont, l’un et l’autre, leur domicile sur le territoire français ;
– lorsque aucune loi étrangère ne se reconnaît compétence, alors que les tribunaux français sont compétents pour connaître du divorce ou de la séparation de corps ».
Le nouveau Règlement ne revient pas sur les règles relatives à la compétence juridictionnelle au sein des États membres, en matière de divorce ou de séparation de corps.
Ainsi, le divorce par consentement mutuel ne pourra être introduit devant un notaire français que si les deux époux sont de nationalité française ou s’ils ont un domicile en France au moment du lancement de la procédure. Si seul l’un des deux a la nationalité française ou la résidence française, l’article 309 dispose que la loi française ne peut régir leur divorce.
L’article 34 du Règlement (UE) n°2019/1111 du 25 juin 2019 prévoit désormais que :
« Les décisions rendues dans un État membre en matière de responsabilité parentale, qui y sont exécutoires, sont exécutoires dans les autres États membres sans qu’une déclaration constatant leur force exécutoire ne soit nécessaire ».
Auparavant, afin que soit déclaré exécutoire dans un autre État membre un acte authentique valant divorce par consentement mutuel, la personne devait solliciter la juridiction ou l’autorité compétente de l’État membre d’origine pour qu’elle délivre un formulaire attestant du caractère exécutoire du titre. Puis, la personne devait formuler auprès des autorités compétentes de l’État membre où elle souhaitait voir son exécution, une demande de déclaration constatant la force exécutoire de l’acte dans son ensemble ou, selon le cas, de certaines de ses dispositions.
L’article 34 du Règlement supprime cette procédure prévue par l’article 41 du Règlement Bruxelles II bis. Les décisions en matière de responsabilité parentale prises ou rendues dans un Etat membre sont exécutoires de plein droit, c’est-à-dire sans aucune autre formalité à accomplir au sein des autres Etats membres.
Quel que soit le type de divorce choisi par les époux, la problématique de la contribution à l’entretien et à l’éducation des enfants fait partie des contentieux les plus récurrents. Dès lors qu’il existe un lien de filiation établi, cela entraîne obligatoirement un devoir d’entretien dont bénéficient tous les enfants mineurs, ainsi que les jeunes majeurs encore dans le besoin (art. 371-2 du Code civil). En cas de divorce par consentement mutuel, la contribution à son entretien et à son éducation prend la forme d’une pension alimentaire, somme forfaitaire estimée par les parents selon leurs revenus et les besoins de l’enfant. La contribution à l’éducation et à l’entretien peut également prendre une autre forme comme par exemple la mise à disposition d’un bien immobilier.
« Mais que devons-nous faire pour le livret de famille ? »
Post-divorce, la question est régulièrement posée par les futurs ex-conjoints.
En cas de séparation ou de divorce, le livret de famille est généralement conservé par le parent qui obtient la garde des enfants en même temps que les autres documents officiels concernant les enfants (carte d’identité, passeport, carnet de santé…).
Dans le cadre des divorces par convention de divorce que notre cabinet est amené à rédiger dans lesquels un élément d’extranéité (mariage célébré à l’étranger, époux de nationalité étrangère, lieu de résidence de l’un des époux…) existe, l’attention des époux est portée sur les précautions à prendre pour s’assurer de sa reconnaissance et de son opposabilité à l’étranger.
Continuer la lecture de « Les divorces par consentement mutuel de ressortissants étrangers »
Les français nourrissent une passion pour les animaux domestiques, il y en aurait actuellement plus de 64 millions, soit presque un par habitant !
C’est pourquoi, la question de la garde et de l’attribution (la propriété) de l’animal domestique est un vrai sujet, régulièrement posé par les couples qui envisagent le divorce.
Continuer la lecture de « D’accord pour divorcer, mais qui va garder le chien ? »
Dans le cadre des séparations de couples mariés, il existe une problématique récurrente en cas d’enfants mineurs ou majeurs issus de cette union : la pension alimentaire, juridiquement nommée la contribution à l’entretien et à l’éducation des enfants.
Continuer la lecture de « La sanction pénale en cas de non-paiement de la pension alimentaire »
La contribution à l’entretien et à l’éducation des enfants ne s’arrête pas à la majorité. Pourtant, elle n’est pas non plus perpétuelle. Mais alors jusqu’à quel âge doit-on payer une pension alimentaire ? Réponse avec DivorceMG.
Continuer la lecture de « Pension alimentaire : y a-t-il une limite d’âge ? »
Pour choisir son avocat, il est fréquent de faire confiance aux avis de son entourage ou à ceux publiés sur Internet. Si ces recommandations peuvent s’avérer utiles, il convient cependant de prendre un certain nombre de critères en considération avant de sélectionner l’avocat le mieux adapté à son affaire. DivorceMG fait le point.
Continuer la lecture de « Les critères pour choisir son avocat »
Votre ex-époux ou épouse est décédé(e) ? Vous ne le savez peut-être pas mais, dans certains cas, vous pouvez bénéficier d’une partie de sa pension de retraite. DivorceMG vous explique en détail les conditions pour bénéficier de la pension de réversion de son ex-conjoint.
Depuis le 1er janvier 2021, il n’y a plus qu’un seul acte de saisine pour introduire l’instance de divorce. Il peut s’agir d’une requête formée conjointement par les parties ou d’une assignation. Cette dernière est une étape déterminante pour votre procédure de séparation contentieuse. DivorceMG vous en dit davantage.
Continuer la lecture de « L’assignation en divorce, une étape déterminante »
Peu de couples le savent mais le divorce n’a pas pour effet de clore automatiquement le compte joint. Par ailleurs, tout au long de la procédure, celui-ci continue de produire ses effets. Il faut donc impérativement s’occuper de cette question lorsque l’on décide d’entamer une procédure de séparation.
Continuer la lecture de « Que faire du compte joint en cas de divorce ? »